Les Regrets – Mes Regrets (3/3)

J’ai été complètement malade, j’avais une jolie femme douce et belle qui m’a donné une petite poupée blonde que nous avons appelée Ange quand dans un bar vendant du vin je fais la connaissance d’une jeune femme qui devient ma maîtresse.
Ce que j’ignore c’est que cette femme a filmé nos ébats et a fait parvenir une cassette vidéo de toutes nos soirées de plus en plus orgiaques à ma femme et quand je la regarde je revis tous les moments de grande dépravation que cette rencontre a engendrée.
J’essaye de me sortir de l’emprise de cette femme mais elle me menace de l’appeler et de tout lui dire alors qu’en son for intérieur elle sait qu’elle va monter une cassette qu’elle lui fera parvenir pour me casser et briser notre couple par simple vengeance contre ceux hommes ou femmes qui trompent leur conjoint.
Si nos premiers rapports ont été assez classique tous s’accélèrent quand elle me met un olisbos dans le derrière que je porte jusqu’au soir où le grand noir avec lequel je l’ai prise en double pénétration revient.

• Crois-tu qu’il est prêt ?
• Demande-lui, c’est lui qui va tâter de ton bâton, comme il me l’a dit le soir de notre rencontre il rêve d’enculer sa femme, il faut que tu lui fasses voir ce que c’est de sentir un sexe écarter votre anus et remonte le long de votre boyau.
Sodomiser leurs femmes, ils en rêvent tous, comme mon mari quand nous l’avons piégé.
Es-tu d’accord qu’il t’encule ?
• Laissez-moi tranquille, j’ai parlé parce que j’avais bu et que j’étais malheureux que pour notre anniversaire de mariage elle ait oublié d’appeler.
Je vous promets d’éviter les pensées impures envers elle dans le futur.
• Encore une promesse d’ivrogne, mets-toi en position c’est la seule façon que tu as d’éviter que je ne l’appelle, elle va être enchantée d’être réveillé et de voir la photo de son mari le cul en l’air rempli par un gode.

Je pleure toutes les larmes de mon corps ce qui semble ne faire aucun effet sur mes tortionnaires et je revies dans ces images le moment où l’intégralité de mon ignominie a été consommée quand le pieu noir s’approche de ma rosette et que d’un coup il me pénètre.


Un sodomite, je suis devenu un sodomisé à partir de ce moment et même si mon anus est libre je ressens encore la brûlure et le mal que cette pénétration m’a apportés.
Le plus grave c’est qu’à un moment j’ai joui à recevoir cette barre consommant ma nouvelle condition.
Les images sont impitoyables, il sort de mon anus et viens se présenter à ma bouche, je le prends d’une main et de l’autre je le fais entrer dans ma paroi buccale.
Oui, moi j’ai fait une fellation et mon regard de satisfaction quand je reçois son sperme au fond de ma gorge trouvant le goût fade mais content d’être devenu une carpette.
J’ignorais que j’avais des instincts homosexuels et cette cassette est là pour me rappeler ce que j’ai accepté en redemandant même.

• Sucez-vous tous les deux,

Encore un passage qui a dû scandaliser Jennifer quand elle l’a vu.
Je tombe sur le lit et nous deux hommes nous nous prenons les queues pour nous les placer dans la bouche et de nous pomper mutuellement.

• Il m’a assez pompé, je vais lui en remettre un petit coup dans le fion, j’ai senti qu’il a aimé tout à l’heure.

C’est d’une main autoritaire qu’il me repositionne, après m’avoir pénétré et qu’il me lime le cul, je m’aperçois que ma bite est tendue et que je bande sous cette sodomie.
Les dernières images avant de passer à la scène suivante me montrent les fesses en l’air dormant profondément.

Scène suivante, la porte s’ouvre et ce sont trois femmes dont Jennifer et quatre hommes qui entrent chez moi.
Parmi eux il y a même une femme d’un certain âge.

• Bien, ta Jennifer revient demain et c’est notre dernière soirée, tu m’as dit vouloir un jour partouzer mais sans savoir comment amener ta femme à le faire.
Nous allons satisfaire tes désirs, toutes les personnes ici présentes sont comme moi des fous de cul.
Notre doyenne est elle-même une adepte des parties carrées, elle accepte tous les hommes, les femmes et c’est d’ailleurs elle qui va te faire une fellation.


Je suis en peignoir et la phrase que Jennifer a prononcé que cette soirée est la dernière me met du baume au cœur, demain tout redeviendra normal et je reprendrais ma vie avec Jennifer, ma Jennifer me promettant bien de l’empêcher de partir et de me laisser seul face à mes incohérences.
J’espérais qu’elle m’ait appelée avant l’arrivée de toutes ces personnes mais hélas il y a cinq minutes qu’ils sont là quand mon portable sonne.

• Mon cœur je suis contente de te retrouver demain, tu vas voir Ange court comme un cabri, elle a énormément progressé en marchant sur le sable mouillé et tu seras content de voir toutes les cassettes que nous avons enregistrées grâce à papa.
Dans nos vieux jours nous nous délecterons de ces images.
Demain soir, j’attends avec impatience que tu me fasses l’amour, un mois sans toi cela devient interminable.

Je débite des banalités et nous raccrochons au moment où cette femme approche sa bouche de mon sexe pour me faire une fellation exceptionnelle à ce qu’en dit Jennifer.
Elle a raison, tout y passe, ma verge, mes couilles qu’elle gobe une à une et mon gland qu’elle suce en suivant la totalité de ma verge avant de me la mettre entre ses seins pour me faire une branlette espagnole.
Branlette espagnole à ce jour j’étais ignorant de ce terme mais c’est Jennifer qui me l’apprend.

• J’avais oublié, notre amie est une adepte de la branlette espagnole qu’elle pratique avec ses gros seins trois fois plus développés que les miens.
Aimes-tu, ta femme serait-elle capable de t’en faire autant ?
• Vous êtes une bande de vicieux mais j’aime, quand Jennifer sera là elle a intérêt à être aussi inventive que vous, je veux qu’elle se comporte comme une pute.

Qu’est-ce que je regrette cette phrase en me l’entendant prononcé sur cette cassette, hormis le fait que je sois devenu une tarlouse ce que je dis de nos rapports l’ont incité à quitter notre domicile ?
Mais pouvais-je savoir que j’étais filmé !

• Prends-la maintenant je suis sûr qu’elle va apprécier ta queue.


Je la retourne et sans hésiter je la plante à l’anus la faisant chanter dès que je l’ai bien emmanché.
Je sens des doigts écarter mes fesses et alors que je devrais le faire partir je saisi la queue d’un des hommes qui m’est inconnue et je le laisse me sodomiser.
Rapidement le grand noir vient derrière lui et l’emmanche à son tour.
La glace de l’entrée dont se sert Jennifer pour contrôler que sa tenue est parfaite quand elle quitte le domicile conjugal me renvoie ce que je vois sur la cassette une femme enculée par un homme lui-même enculé par un grand noir à forte bite.
Jennifer pendant ce temps suce la chatte de la jeune fille qui les accompagne pendant que le dernier homme la prend en levrette tous étant sur notre canapé.
Dans la nuit je me fais enculer par chacun des hommes et je remplis la bouche de Jennifer et de la jeune fille, au matin comme tous les jours depuis presque trois semaines tous s’en vont en emportant le sac où les images ont tourné cette nuit démentielle pour finir par atterrir sur cette maudite cassette qui a été donnée à Jennifer.
Une dernière scène est tournée ou Jennifer explique qu’avec un couple d’amis tous hommes ou femmes victimes de conjoints adultérins ils ont décidé de les piéger ce qui est le cas pour moi car dès que je suis entré dans ce bar j’avais la tête d’un mec qui cherchait l’aventure facile.
J’ai envie de hurler, je suis rentré dans ce bar pour boire une bouteille et me cuiter, si mon voisin avait évité de me bousculer, je serais rentré me coucher sans chercher quoi que ce soit.
Voilà comment les choses se sont passées et quand je comprends que tout a été filmé et c’est retrouvé sur cette maudite cassette je décide de tout faire pour retrouver Jennifer et Ange et de les reconquérir.
Je planque devant chez mes beaux-parents et chaque jour je vois la fleuriste du coin amener 7 roses en espérant que Jennifer comprendra que ces roses représenteront chaque année de notre bonheur.

C’est le cinquième jour que je constate qu’elles sont bien là alors ce jour-là j’apporte moi-même les roses.
C’est ma belle-mère qui les prend les mets au sol et les piétine.

• Salaud, nous avons vu la cassette et les ignominies que tu as faites, comment oses-tu te représenter devant nous, l’avocat que Jennifer a engagé va se servir de cette monstruosité et nous sommes sûrs que ta fille te sera retirée, nous allons obtenir que tu perdes tous tes droits sur elle.

Je vais pour me justifier mais elle me claque la porte au nez.
Pendant six mois les roses sont livrées à la même heure et pendant si mois elles finissent à la poubelle.
Comme elle me l’a dit j’ai perdu mon divorce avec une grosse pension à payer sans droit de visite, le juge m’ayant classé dans la catégorie des pervers.
Le destin me ratt et lors du jugement je constate que l’avocat black de Jennifer a le même gabarit que le noir qui s’est occupé de mon fondement, je pense qu’il doit en avoir une aussi grosse.
J’apprends que Jennifer la salope qui m’a piégé avait donné deux cassettes identiques pour que ma femme gagne son divorce.

Un jour je vais vers la gare pour me jeter sous un train.
Je gare ma voiture et au moment ou je vais franchir le grillage une voix m’interpelle.

• Arrête pas de connerie, tu vas mon bisness si tu te suicides ici.
• Cela se voit que je suis à bout.
• Qu’as-tu fait ?

Je raconte à cette pute ce que j’ai fait n’omettant rien même des sodomies subit.

• Je te donne un conseil, va la voir et demande lui une explication il faut être direct et culpabilise là, si tu as accepté tout cela c’est par amour pour éviter de la faire souffrir.

Je suis son conseil et j’attends que mes beaux-parents partent pour sonner.
C’est l’avocat de Jennifer qui m’ouvre avec mon ex-femme qui le suit.

• Que veux-tu ?
• T’expliquer pourquoi tu as une part de responsabilité.
• Tu rigoles, de toute façon j’ai refait ma vie avec l’homme que tu viens de voir.
• Ton avocat ?
• Oui et j’ai trouvé en lui un homme plein de charme et de gentillesse.
• Il est noir.
• En plus, tu es raciste, pourtant la verge que tu prenais dans le derrière était de même couleur.

La porte m’est refermée au nez sans plus de formalités.
Un mois passe quand un soir mon téléphone sonne.

• C’est Jennifer, je suis à l’hôpital, notre fille vient d’être hospitalisé sa vie est en danger.
• J’arrive.

Je suis sur place dans les minutes qui suivent.
Jennifer m’attend.

• Le docteur vient de diagnostiquer une méningite, il veut bien que tu entres dans la chambre pour l’embrasser mais tu sais elle est dans le coma.

Quand je vois mon bébé avec des tuyaux partout je tombe à genoux le long de son lit.
Je lui prends la main et je m’aperçois que je parle seul.

« Vous qui avez son destin en main, si vous nous rendez notre petite fille aussi joyeuse qu’elle l’était avant je promets de tout faire pour leur faire la vie la plus belle que je peux »

Sans m’en rendre compte Jennifer est venue s’agenouiller comme moi et nos mains se retrouvent sur la main d’Ange.
Pendant vingt-quatre heures nous nous relayons vers notre petite en dormant l’un près d’elle et l’autre dans le couloir afin d’éviter de la fatiguer.

• Papa j’ai soif.

Ma demande a été exhaussée, Ange est sorti du coma et je vais donner la nouvelle à Jennifer nous nous retrouvons dans les bras l’un l’autre.
Quelques jours plus tard, à la sortie de l’hôpital de notre bébé Jennifer accepte de revenir à la maison mais me donne six mois pour faire mes preuves.
Pendant ce temps j’ai changé notre chambre, celle d’Ange et le canapé qui pourrait avoir mauvais effet sur Jennifer lui faisant repenser à ce que j’ai fait chaque fois qu’elle verrait les meubles qui ont été filmés dans mon mois de débauche.
Ce soir elle sort de la salle de bain enlève sa chemise de nuit et vient me rejoindre.
Pour la première fois depuis les évènements elle me donne sa bouche.
C’est à ce moment que je prends conscience que celui-là haut qui a épargné notre vient me punir de ce que j’ai fait.
Ma bouche que j’avance vers la bouche de Jennifer est noire, quand je me déplace vers ses seins cette bouche est toujours aussi noire et pour clore mon destin et ma punition quand je prends ma bite en main pour pénétrer ma femme mes yeux la voient toute noire.
Pour que je comprenne bien ma punition, Jennifer qui enlevait sa chemise de nuit deux fois par semaine doit se sentir elle aussi coupable du manque de sexe que j’ai ressenti car à partir de ce jour où je la retrouve elle multiplie par deux nos rapports me punissant deux fois plus.

J’accepte cette punition et neuf mois plus tard Jennifer met au monde un joli petit garçon métissé que j’adore et que je vais élever sans me poser de question.

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